Broyer du noir

Broyer du noir

Un pas en avant, deux pas dans le vide
La sérénité retourne sa veste
La joie se meurt, le bonheur est perfide
Tout devient noir, la vie et le reste

Ta douce tigresse n’est plus qu’un fantôme
Sans ton sourire, tes encouragements
Une moins que rien, pas même une môme
Elle se laisse aller, sombre dans le néant

Encourage-moi, depuis tout là haut
Pour avancer, il me manque une étincelle
Je me meurs sans toi, ma vie est un tombeau
Loin de tes bras, le néant m’appelle

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